En avant première : les yacks !

Les premiers dessins d'une série qui devrait en comporter 12 ! Zou, au travail ;-)

K-yack, le BG de service

Tip- yack (ils nous ont volé notre recette, comme dans la pub)

 Hypocondri-yack, mon petit préféré pour le moment

TO BE CONTINUED ...

Par ici, les petits logos !

Ce premier logo avait été dessiné pour un t-shirt à l'occasion d'un anniversaire. Bon le sens est opaque et relève plutôt de la private joke : il était destiné à une personne travaillant dans le cadre d'un projet de recherche nommé ... je vous laisse deviner, c'est écrit ;-)

Je précise pour étouffer dans l’œuf tout fâcheux malentendu que la chose verte que le cœur lèche amoureusement n'est pas une vulgaire déjection canine mais bien un noble parasite intestinal :-)

Le deuxième logo ci-présent est plutôt une banderole destiné à illustrer un site internet (oui, il s'agit d'une thématique traitant d'animaux domestiques et de ... je vous laisse trouver ;-) )

Dessins en vrac

Porcinet dessiné au crayon + café

 

Une revisitation de la danseuse de Mucha 

Dessin au crayon pastel réalisé d'après une BD d'Enki Bilal

Souvenir d'enfance

Une première tentative infructueuse au concours jeunes talents du festival BD Quai des Bulles. Le thème de cette année (2013) était "Souvenir d'enfance". J'étais partie sur l'idée d'un gars qui aurait développé durant son enfance une phobie impactant sa vie du présent (la phobie des luminaires, oui oui oui ...). En remontant dans le passé pour se libérer de ce passé traumatique (attention, spoiler), il se serait rendu compte que c'était son intrusion dans son passé qui avait généré son traumatisme ... 

L'histoire était sans doute un peu trop alambiquée (surtout pour 2 planches), et, avec le recul, il y a pas de mal de problèmes au niveau du dessin aussi, sans parler de la mise en page du texte, de l'absence de titre et des couleurs faites en une demie journée, et qui piquent un poil ;-)

Si j'avais un million ...

Après un an de pause BD, j'ai retenté en 2015 le concours jeunes talents organisé par le festival de bande dessinée Quai des Bulles de Saint Malo. Le thème pour l'année 2015 était "Si j'avais un million ..."

Même si mes planches n'ont au final pas été sélectionnées, cela m'a donné un objectif ! Hop, rendez-vous l'année prochaine pour un nouvel essai ?

Les joies de la peinture ...

Suite à une commande (réaliser une peinture sur une barrière à chien), j'ai eu la chance la joie ? l'occasion de goûter aux joies de la peinture ... Bon, d'habitude, je fuis plutôt la peinture comme la peste (à part l'aquarelle, mais est-ce vraiment considéré comme de la peinture?) parce que :

1. mélanger les peintures c'est fatiguant et généralement je fais pas assez ou trop peu de mélange ("et zut va falloir en refaire, qu'est ce que j'avais mis, déjà ?" ==> impossible de retrouver la bonne couleur)
2. il n'y a pas de contour (oui, je suis une grosse maniaque du contour, limite fétichiste)
3. les peintres finissent mal en général : fous, pauvres, avec une oreille coupée, bref, j'ai peur d'attirer la malédiction
4. ce ne sont pas les mêmes repères qu'en dessin donc ça demande des efforts ...

Donc suite à cette demande, j'étais à la recherche d'un thème. Hier en rangeant mon bordel mes anciennes créations, je suis retombée sur un vieux croquis qui n'avait pas été utilisé :

3 bonnes heures de dessin et peinture plus tard (renversement de gobelet d'eau inclus), ce petit croquis était devenu ceci :

Une bonne grosse planche de plus d'un mètre de large ! Oui, ça brille, il y a de la peinture dorée, la grande classe !

Bon, je l'avoue, cette première expérience de peinture n'était pas aussi douloureuse que ce à quoi je m'attendais, je crois même que j'ai bien aimé ça...

A bientôt pour une prochaine peinture ;-)

Offrir la vie éternelle (ou presque) aux feuilles !

Ma première tentative de "plastification conservatrice" de feuilles d'automne date d'il y a quelques années, lorsque j'avais eu la chance de pouvoir emprunter une plastifieuse (à la base pour faire des badges pour un concert, mais c'était trop tentant). Même si le résultat était plutôt sympa, je n'avais à l'époque pas renouvelé l'expérience car :

1) la machine infernale avait émis des grésillements de mauvais augure lors du processus => aïe aïe aïe elle va brûler => zut ma chambre aussi => adieu caution !

2) ladite machine ne m'appartenait pas, donc je n'ai pas eu le temps d'industrialiser la production...

L'an dernier, séduite par des magnifaïques feuilles de ginko biloba, j'ai décidé de sauter le pas et je me suis achetée une superbe plastifieuse !

Malheureusement, malgré la quantité (industrielle cette fois-ci) de feuilles collectées la très grande majorité de mes victimes a mal fini (moisies // desséchées // dévorées par une lapine très très vorace) pour cause de flemmingite aigüe... Bref la sélection (naturelle ?!) a fait son œuvre et les seules survivantes sont visibles ci-dessous (du ginko, qui survit effectivement à tout)

Même si ce n'est pas visible sur la photo, la plastification n'était pas encore optimale, et l'humidité résiduelle (oui, malgré le mois de flemme) a généré des bulles d'air assez disgracieuses...

Cette année, j'ai donc innové et j'ai le plaisir de vous présenter :

"LES FEUILLES PLASTIQUES ÉPISODE II : LE FER DE LA PROVIDENCE"

Eh oui, un fer à repasser ! J'ai cette fois-ci prélevé des feuilles de bambou, que j'ai soigneusement repassées (ça a pris 2 bonnes heures) entre 2 feuilles de papier cuisson (spéciale dédicace à l'amie qui m'a généreusement prêté son fer à repasser contre une lessive). Ca prend du temps, ça sent pas très bon, mais ça marche !

Il ne restait plus qu'à agencer la chose (oh labeur, oh souffrance), et voilà la merveille !